La recherche de nouveaux collaborateurs est un enjeu stratégique pour l’entreprise. La pérennité de ses projets dépend beaucoup de la réussite de la campagne de recrutement. Aujourd’hui, l’utilisation d’un logiciel de recrutement est le moyen par excellence d’optimiser la campagne. Cela est un fait communément accepté. Mais une question se pose souvent : comment choisir le logiciel de recrutement à utiliser ?
Choisir un logiciel simple d’utilisation et ergonomique.
Avez-vous déjà poser la question : quel pourcentage des fonctionnalités de votre smartphone utilisez-vous vraiment dans votre vie quotidienne ? Le fait est qu’il est inutilement super performant pour l’usage que vous en faites. Il en est de même pour le logiciel de recrutement. Certains sont munis de milliers de paramètres que leurs utilisateurs ne vont même pas utiliser. Ces logiciels deviennent compliqués, car l’interface est bloquée. Il est inutilement super performant pour l’usage que vous en faites. Les professionnels du recrutement ne seront pas à l’aise avec ce genre d’outil. Cela aura des répercussions néfastes pour votre campagne de recrutement. Il faut qu’il soit dynamique, avec une esthétique correcte. Le plus important, c’est qu’il puisse répondre aux attentes réelles des responsables de recrutement. Optez pour un logiciel de recrutement simple d’utilisation, ayant des paramètres qui sont vraiment utiles pour la campagne. Cette simplicité permettra aux responsables qui le manipuleront d’effectuer leurs tâches simplement et rapidement. Prenez le temps de visiter le site intuition-software.com pour voir des logiciels d’embauche répondant à ces critères.
Opter pour un logiciel de recrutement personnalisé.
Votre entreprise est unique. Le logiciel de recrutement que vous utilisez doit aussi être unique. Votre entreprise a des besoins qui lui sont propres. Ces besoins sont dictés par votre secteur d’activité, le volume de recrutement à faire, la taille de l’entreprise et les profils recherchés. Évitez d’utiliser un logiciel trop rigide, qui ne vous permet pas d’apporter vos propres modifications. Normalement, vous devriez pouvoir apporter vos modifications au système sans l’intervention d’un spécialiste. Aussi, il ne faut pas oublier que le marché évolue. Cette évolution entraînera forcément des changements dans votre organisation. Votre outil de recrutement doit aussi pouvoir suivre ces changements. Cette flexibilité doit vous permettre d’ajouter ou d’effacer des comptes utilisateurs. Les options doivent aussi être modulables selon les modifications de vos besoins. Si vous décidez de travailler avec un cabinet de recrutement, il est conseillé d’effectuer en parallèle votre propre veille sur le fonctionnement de l’outil. En effet, dans certains cas, des candidats sont rejetés par le logiciel pour de mauvaises raisons. Par exemple, il arrive parfois que des CV soient automatiquement rejetés parce qu’ils ne correspondent simplement pas aux formats reconnus par le logiciel.
Investir dans la longévité.
Lorsque les employés s’habituent à un outil et qu’ils arrivent à exploiter leur plein potentiel, une zone de confort s’installe. Il devient alors difficile de modifier ces habitudes. À chaque changement, il y aura des coûts énormes en formation. Cela provoquera une perte de productivité considérable. Pour éviter cette situation, le mieux c’est de choisir un logiciel de recrutement dynamique. Invertissez dans une application connue dans le domaine du recrutement. Il doit avoir une bonne réactivité et s’adapter aux éventuels changements de vos besoins. Un bon logiciel de recrutement est en mesure de répondre aux besoins spécifiques de votre société tout au long de votre campagne. Aussi, il est conseillé d’opter pour un logiciel utilisable en ligne. En effet, il se peut que vos équipes soient amenées à se déplacer. Enfin, il faut faire attention aux « coûts cachés ». Au moment de la signature du contrat avec le fournisseur du logiciel, l’offre doit être claire. Si elle ne l’est pas, prenez le temps de clarifier les points importants, surtout en ce qui concerne les coûts d’utilisation.